| Saison Régulière | Journée : 5 | Météo : Très ensoleillée puis Clémente |
Coach : LeLiquid
| Nom | Td | Réu | Sor | Int | JPV |
|---|---|---|---|---|---|
| #3 Le cocu (Blitzer) | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 |
| #7 Tonton Nestor (Bloqueur Big'Un) | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
| #8 Le vieux Léon (Bloqueur Big'Un) | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 |
| Nom | Td | Réu | Sor | Int | JPV |
|---|---|---|---|---|---|
| #5 Rufus (Loup Garou) | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 |
| #9 Gilbert (Zombie) | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
| #10 Olivier (Zombie) | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 |
Lors de la dernière rencontre exibition de l'équipe orque "Fanatic Babouins", le coach eu le malheur d'exorter son capitaine et blitzeur Jokoko à courir vers la zone d'en-but. En effet, ce dernier avait la balle et pouvait arracher le match nul. Le match fut perdu et on mit plus de huit jours à retrouver Jokoko...
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Coach : schouf
Quand j'ai couru tenter mon p'tit blocage sur la Goulette
La belle, la traîtresse n’était pas allée au tas
Avec mon p'tit blocage, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon p'tit blocage, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru porter l’ballon passant devant la Goulette
La belle, la traîtresse l’avait déjà fait tomber
Avec mon p’tit ballon, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon p’tit ballon, j'avais l'air d'un con
Quand j'offris pour étrenne un double crâne à la Goulette
La belle, la traîtresse elle n’était plus végan
Avec mon double crâne, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon double crâne, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru tout chose vers l’embut de la Goulette
La bell' tapait à mort sur ce sale orque qui l'embétait
Avec mon orque à terre, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon orque à terre, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru brûler la p'tite cervelle à la Goulette
La belle était déjà partie d'une esquive soignée
Avec mon blitz raté, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon blitz raté, j'avais l'air d'un con
Quand j'ai couru serein à l’agression de la Goulette
La belle, la traîtresse n’a pas du tout bronché
Avec mon double deux, j'avais l'air d'un con, ma mère
Avec mon double deux, j'avais l'air d'un con